STEPHANE SIMONESCHI – FONDATEUR DE SIMONESCHI RIVIERA: L’ÉNERGIE du dépassement

SYNOPSIS

Joli témoignage que celui de ce jeune homme, qui a vite su dépasser les préjugés et la fatalité d’un destin mal engagé pour construire la vie qu’il attendait avec une énergie et une authenticité incroyables… Pour y parvenir, Stéphane Simoneschi applique sans cesse deux principes indiscutables : la détermination et le travail !

SCENARIO

Stéphane n’est pas vraiment né sous une bonne étoile. Avant de se passionner pour son domaine d’activité, le monde du CVC (chauffage, ventilation et climatisation), de la maintenance multi technique et en créer une entreprise prospère, il lui aura fallu traverser des épreuves, des périodes de doute et de découragement.

Tout commence pour lui à Lyon, où se rencontrent ses parents et où il passe sa petite enfance.

A l’âge de ses 4 ans, son papa est muté à Trieste afin de superviser l’ouverture d’une grande surface pour une enseigne internationale d’hypermarchés. Un peu plus tard, ce sera la Sardaigne pour ses parents tous deux d’origine italienne. Un papa stable mais peu présent auprès de ses proches, une maman dépressive pour un cercle familial explosif, déstabilisant pour Stéphane et sa fratrie… En Sardaigne, les difficultés du couple s’accentuent et se profile un retour en France. Ce sera Nice pour la famille et l’inéluctable séparation de ses parents. C’est le début d’une enfance malmenée. Heureusement, chaque été, retour en Italie où les enfants passent près de 3 mois de vacances chez papy et mamie : un peu de Dolce Vita et des souvenirs d’enfance qui permettent de se construire avec un peu plus de douceur que d’ordinaire.

Déclics

Les années passent. La vie est faite de déclics, de points de bascule. Comme lorsque Stéphane, du haut de ses 14 ans, avec son bagout et ses convictions, parvient à convaincre la juge des enfants de ne pas se voir placé avec ses frères et sœurs en famille d’accueil… Le jeune homme se découvre alors un certain talent de persuasion et prend un peu plus confiance en lui. Un autre déclic a lieu à l’âge de 15 ans sur la route des vacances. Stéphane passe quatre heures du trajet Marseille-Lyon en voiture à discuter de son propre avenir avec son oncle, chef d’entreprise artisanale qui symbolise déjà pour lui « la réussite ». Et lui donne cette envie d’indépendance, sans le faire rêver, tout en le prévenant que les moments de découragement seront là et qu’il faudra sans cesse relever la tête, mais que le jeu en vaudra toujours la peine…