MARC UNTEREINER – FONDATEUR ET DIRIGEANT D’ANDRIAX: Mesurer le chemin parcouru et…LA DISTANCE À ATTEINDRE

SYNOPSIS

Après avoir exercé plusieurs années comme agent de sécurité, employé en grande distribution, aux espaces verts… un jeune homme finit par se prendre de passion pour les Travaux Publics et ses activités connexes : il s’y formera et en fera naitre sa propre entreprise, Andriax, spécialiste des outils de mesure et de captation de la donnée pour le secteur du BTP et de l’aménagement.

LE FILM

S’il connait très bien les prouesses techniques dont est aujourd’hui capable Andriax, l’entreprise qu’il a fondée, Marc Untereiner n’aime rien de moins que de rentrer dans des cases, être catalogué… Lui-même autodidacte, passionné, loin des sentiers battus, une grande partie de ses expériences de vie aura fait mentir les plans de carrière et les pronostics tout faits, souvent distillés à l’école.

Tout commence à l’adolescence, à cette époque où le jeune niçois éprouve des difficultés à trouver sa voie, comme de nombreux jeunes de son âge. Après la 3e, sans grande conviction et peut-être poussé par son entourage familial ou scolaire (il ne se rappelle plus vraiment !), Marc s’inscrit en BEP Construction et Topographie, une formation qui le destine au dessin de plans. Et une orientation qu’il ne suivra pas : il a le goût de l’aventure, veut se confronter au risque, se challenger… Jeune sportif, il choisit de s’engager dans la Marine mais il ne partira jamais : nous sommes en cette année charnière où Jacques Chirac met fin au service militaire obligatoire et sa candidature ne sera pas retenue.

Débute alors pour Marc plusieurs années de travail «  alimentaire », avec un premier job d’employé de libre-service puis dans le négoce de matériaux. Le jeune homme commence à cumuler plusieurs métiers, dans l’idée de mieux gagner sa vie, évidemment, mais surtout de s’occuper l’esprit  : « il fallait que ma tête travaille, je devais être en constante activité ! » analyse-t-il aujourd’hui. Service de sécurité événementielle sur des concerts, Marc va même jusqu’à travailler dans le secteur des espaces verts le week-end.