engIT, au cœur de l’IoT

Inantipolis 7

Février / Mars 2019

INtelligence & INnovation

24 avril 2019

Mickael Lardet

Comment l’ESN de Sophia Antipolis, spécialiste de l’innovation et de la transformation digitale, travaille-t-elle avec ses clients ? Dans le monde des sociétés prestataires de service du numérique, engIT se distingue aussi de ses concurrents par son approche client. Nous avons rencontré Benoît Cousson, président de la société BayLibre à Villeneuve-Loubet. Cette startup fait appel aux talents d’engIT pour ses projets dans le domaine de l’IoT (pour Internet of Things aussi appelé objets connectés ou objets communicants, NDLR). Avec succès.

A l’origine, BayLibre, fondée en 2013 par 5 anciens de Texas Instruments à Villeneuve-Loubet, se structure pour offrir des prestations de bureau d’études pour des projets Linux embarqués. Très vite, leur expertise dans le domaine de l’embarqué rencontre du succès, particulièrement outre-Atlantique. Leurs clients ? « Ceux qui ont envie de faire un produit Iot et qui n’ont pas les compétences pour le faire ou qui veulent rendre communicant leur produit parce que c’est une tendance de fond », explique Benoît Cousson, co-fondateur de BayLibre.

L’embarqué, les objets connectés ? « Cela va du smartphone modulaire, aux lunettes de réalité virtuelle en passant par des systèmes de contrôle de consommation d’énergie. Nous travaillons aussi beaucoup sur les « Enceintes connectées », type Google Home, Alexa… ». Rapidement, dès 2014, il faut donc pouvoir monter des équipes d’experts »… Mais pour Benoît, tout jeune co-fondateur de l’entreprise, embaucher est délicat sur un marché très tendu et c’est là qu’il envisage de recourir à des ESN.

En s’intéressant au client, à son activité et en assurant un bon suivi de nos prestations et de nos ingénieurs, nous pouvons être bien plus qu’un simple pourvoyeur de talents, nous pouvons être force de proposition ! Arnaud Geoffroy

« Typiquement, j’ai l’image des sociétés de services comme des fournisseurs de ressource sans réelle valeur ajoutée, qui ne répondent pas à vos besoins, vous proposent les CV qu’ils ont sous la main et vous font perdre énormément de temps. Et je sais de quoi je parle : j’y ai même travaillé comme ingénieur et maintenant en tant que chef d’entreprise, j’ai rencontré la plupart des ESN de Sophia Antipolis… ».


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