BIJOUTERIE BABYLONE : NICE, PRÉCIEUX ÉCRIN du shopping maralpin

Auprès de sa sœur Lara et de son père Jan -le fondateur, Nicolas Arin dirige la bijouterie-joaillerie familiale Babylone, institution niçoise de la rue Maréchal Joffre depuis plus de 45 ans. A la CCI comme auprès des autres commerçants de la ville et de l’association Nice Shopping dont il est secrétaire, il s’investit pour attirer et fi déliser les clients autour de la destination shopping incontournable que devient Nice.

Nicolas, présentez-nous Babylone… Nicolas Arin : En 1978, mon père s’est installé ici, au 10 de la rue Maréchal Joffre, en tant que bijoutier-joailler. C’est en 1991 qu’il a eu l’opportunité de se développer en rachetant le magasin mitoyen et en agrandissant nos locaux. Je l’ai rejoint en 2009, suivi par ma sœur et nous travaillons aujourd’hui en famille. En 2018, nous avons pu nous agrandir encore avec le rachat d’un commerce mitoyen.

Quelles sont vos différentes activités ?

Avant de rejoindre mon père, mon cursus scolaire m’a amené à passer une Licence en gestion des PME : une petite entreprise artisanale comme la nôtre nécessite de toucher à tout, de la vente à la fabrication, dans un modèle de gestion global. J’ai appris le métier en regardant les ouvriers artisans. Chez Babylone, nous partons du produit brut pour aller jusqu’au bijou terminé. Une part importante de notre activité consiste dans l’achat de lots de pierres à transformer, de même que la fabrication sur-mesure de nos bijoux dans notre atelier.

Comment développez-vous l’activité de Babylone ?

La dernière extension de la bijouterie nous a permis d’agrandir l’atelier, nous équiper de nouvelles machines-outils, comme la soudure au laser ou encore la conception de bijoux en 3D, garantissant ainsi le renforcement de notre indépendance, notamment dans la fabrication. Notre développement passe aussi par une volonté d’accroitre notre notoriété, avec l’organisation d’événements autour de notre activité et du travail avec toute la communauté des commerçants de la ville…