CAISSE D’EPARGNE CÔTE D’AZUR – Sur le terrain, PROCHE ET UTILE

Claude Valade préside le directoire de la Caisse d’Epargne Côte d’Azur depuis février 2021. A l’heure de la reprise, qui coïncide avec la préparation du nouveau plan stratégique 2022-2024, ce banquier d’expérience, convaincu par la logique affinitaire développée par la CECAZ, veut ajouter encore de la proximité, en accompagnant notamment ses clients professionnels et entreprises dans le renforcement de leurs fonds propres.

Après avoir débuté sa carrière en Bourgogne-Franche Comté comme manager d’agence, Claude Valade a ensuite évolué en prenant la tête d’une direction de groupe pour la Banque Populaire. Toujours au sein du groupe BPCE, à la Banque Populaire du Nord, il devient directeur général adjoint en charge de l’activité commerciale. Nouvelle affectation, qui couvre 9 départements avec le pôle banque des décideurs en région pour la Caisse d’Epargne Bretagne Pays de Loire, puis en région parisienne, où il dirige une filiale du groupe, BPCE Factor (affacturage). Un parcours très complet qui permet aujourd’hui à Claude Valade de pleinement faire profiter la CECAZ de ses compétences dans le cadre de ses nouvelles fonctions.
« Je tiens à cette image : je suis un banquier de terrain ! C’est mon code génétique, ma marque de fabrique ! Je crois que c’est sur le terrain que l’on rencontre ses clients, que l’on fait des affaires, que l’on partage avec les collaborateurs ».

En arrivant sur la Côte d’Azur, il découvre un territoire d’une extraordinaire richesse, dense « et surtout complémentaire, où le tourisme est certes prépondérant, mais où l’on retrouve une vraie synergie entre les agents économiques, qui ont pris l’habitude de travailler ensemble : en cela, le terme de territoire a du sens ».

Aménagement du territoire

A ce sujet, si la CECAZ a été prévenante avec ses clients, octroyant durant la crise plus de 4200 PGE pour presque 600 M€, Claude Valade entend bien poursuivre dans cette voie, « pour reprendre le chemin de la conquête et du développement ». Pour y parvenir, avec son ADN de banque coopérative régionale, la CECAZ poursuit son ancrage territorial, quand d’autres réseaux bancaires réduisent la voilure. Et pour s’intégrer de manière pérenne, Claude Valade en est persuadé : il faut bien prendre en compte l’endettement des entreprises. Pour cela, la banque réfléchit à des dispositifs pour entrer avec discernement à leur capital et les accompagner en financement. « Nous ne sommes pas dans une logique de prise de pouvoir, l’important est surtout d’augmenter leurs fonds propres ».