Proelan : pour construire l’entreprise tous ensemble

Si la crise sanitaire bouleverse le secteur tertiaire, l’activité économique et les besoins en recrutement se maintiennent à Sophia Antipolis pour des ESN telles que Proelan. L’entreprise peut compter sur un ADN « familial » pour séduire les candidats de la tech désireux de travailler dans la technopole.

La particularité de Proelan, explique Laurel Djivoh, chargé de recrutement, réside dans l’idée que nous voulons construire l’entreprise avec nos candidats ». Une formule qui pourrait paraitre facile, mais qui change la donne… Ainsi, le process de recrutement, très complet, intègre tous les paramètres liés au candidat, jusqu’à ses prétentions salariales, discutées avec Proelan, avant de présenter son profil à l’entreprise cliente. « Nos embauches se font à la mission, et non au profil », tient à préciser Fiona Caidominici, chargée de recrutement. Ce qui signifie que c’est devant la demande du client que Proelan analyse les candidatures et étudie lesquelles retenir.

Le recrutement, généralement en CDI, se fait donc sous la condition de l’existence du poste. L’ESN de Sophia Antipolis propose un accompagnement global de ses candidats, qu’ils soient en freelance ou en CDI, ce qui favorise un fort taux de fidélisation : « Nous travaillons par exemple en partenariat avec plusieurs résidences pour le logement de nos candidats qui ne sont pas issus de la région » explique Laurel Djivoh.

Travailler sur le long terme

Tout est facilité jusqu’à la prise en charge du volet administratif de leur installation dans la région.
« Proelan fonctionne comme une famille  » sourit Frédéric Julien, dirigeant. Cette spécificité se retrouve dans l’implication des Ressources Humaines autour des recrutés. Agnès Basuyau, responsable RH, contacte individuellement chaque mois tous les employés Proelan, afin de faire le point sur leurs missions et sur leurs doléances. «  Nous créons du lien et même si ces prises de contact sont plutôt informelles, elles sont primordiales dans notre démarche », confirme-t-elle.