Portraits
Lisa Rose Studio – Mise en beauté
Juillet / Août 2020
Lisa Pottier a déjà vécu plusieurs vies d’entrepreneuse ! Aujourd’hui praticienne en dermographie esthétique et correctrice, hier fondatrice de sa maison d’édition dans la communication, elle trouve son épanouissement professionnel dans la beauté, en façonnant l’image de ses clients.
Quel est votre parcours ?
Très tôt, j’ai cherché à devenir indépendante : dès 16 ans, je faisais des petits jobs pour gagner en autonomie… Après des études littéraires, j’ai bifurqué vers l’esthétique et je me suis lancée à mon compte. J’ai dû me rendre à l’évidence : j’étais un peu trop jeune pour la création d’entreprise, je manquais d’expérience…
J’ai ensuite passé 12 ans à travailler dans la publicité pour ma propre maison d’édition où j’ai développé ensuite une agence de création graphique et événementielle : des années riches d’expériences, d’émotions et de rencontres…
Vous êtes aujourd’hui revenue à vos premières amours ?
Oui, et au fil de plusieurs formations, je suis devenue praticienne en dermographie esthétique et correctrice, je travaille sur l’embellissement permanent du visage. Je viens d’ouvrir mon studio à Nice sur la Promenade des Anglais, où je réalise toutes mes prestations esthétiques. Finalement un peu comme dans la communication, où je soignais l’image de mes clients !
Créer sa boîte, c’était une évidence ?
J’ai de nombreux chefs d’entreprise dans ma famille, cela m’a forcément influencée. Mais mon besoin d’indépendance a toujours été très fort et quand vous avez goûté cette liberté professionnelle, difficile de revenir en arrière… A titre personnel, j’ai besoin d’être créative. Être son propre patron me permet surtout de pleinement m’exprimer dans mon travail.
Selon vous, de quoi a besoin l’entrepreneur qui débute ?
Principalement de notoriété : ce n’est pas parce que vous êtes bon dans votre domaine d’activité que cela se sait autour de vous ! Il faut savoir activer ses réseaux, et surtout parfaire son savoir-faire : je me perfectionne continuellement en me formant régulièrement aux nouvelles techniques. Il faut beaucoup de motivation, mais de toute façon, l’entreprenariat relève de la passion !
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