DSI MÉDITERRANÉE – EGS : ALLER PLUS LOIN – dans l’inclusion avec DSI

Jean-Philippe Faure dirige Eiffage Global Services (EGS), l’entité chargée d’organiser les fonctions support d’Eiffage, l’un des leaders européens du BTP et des concessions. A l’origine d’un Centre de Services Partagés (CSP) qui mutualise la digitalisation des systèmes d’informations RH, comptabilité et paie de tout le groupe en France (48 000 salariés), EGS a également inscrit sur la feuille de route de sa transformation digitale sa volonté impérieuse de travailler principalement avec des fournisseurs français. Voici comment, dans cette organisation, DSI apporte sa pierre à l’édifice.

Tout commence avec un fournisseur d’EGS qui ne lui donne pas entière satisfaction. Et pour sa prestation -le traitement de ses 6 000 notes de frais mensuelles à l’échelle nationale, EGS fait donc désormais appel aux équipes de DSI : « Leur équipe est très performante, ils sont montés dans la chaine de valeur. Concrètement, l’entreprise nous a aidés à mettre en place des process de traitement des notes de frais (préparation, numérisation, mise en place d’une GED dédiée entre DSI et EGS), qui font toute la différence, notamment avec des contrôles de conformité ». Ces opérations gagnent désormais en valeur ajoutée.

Doper la dimension humaine de sa RSE

Signe de cette satisfaction : « Nous voulons encore renforcer notre collaboration avec DSI en allant plus loin et en intégrant près d’une vingtaine de leurs collaborateurs chez nous d’ici cet été, dans nos services de production paie et en comptabilité », confirme Jean-Philippe Faure. Ultime ambition avec l’entreprise adaptée, sur la Côte d’Azur : « Enfin, nous réfléchissons à ce que DSI Méditerranée intègre d’autres activités d’EGS, en élargissant son domaine de compétences » précise le patron d’Eiffage Global Services.

Persuadé de la nécessité d’uniformiser ses systèmes de production en back office pour gagner en productivité et en qualité, EGS mise sur une collaboration à long terme avec l’ensemble de ses fournisseurs, désormais rompus à son organisation et à ses process. L’objectif sous-jacent ? « Plus largement, nous visons à très largement dépasser les 6 % réglementaires d’inclusion de personnes en situation de handicap dans nos effectifs » souligne Jean-Philippe Faure. Ou comment doper sa politique RSE dans sa dimension la plus noble : celle liée aux enjeux humains.