Caisse d’Eparge Côte d’Azur – Une banque référente pour L’ÉCONOMIE DU SPORT

« …Juste devenir la banque de référence de l’économie du sport sur notre territoire ». Voici le vœu que formulait Claude Valade, Président du Directoire de la Caisse d’Epargne Côte d’Azur (CECAZ) à l’occasion de la présentation d’une étude nationale menée sur la filière, assortie de son diagnostic territorial de l’économie du sport sur la Côte d’Azur.

A l’image de ce que la banque développe déjà de manière anfinitaire dans plusieurs secteurs d’activité (nautisme, viticulture, filière du parfum…), la CECAZ spécialise son offre et veut soutenir l’économie locale du sport. Réunis au Musée national du sport à Nice, plusieurs cadres en charge de la prospective et de la stratégie au sein du groupe BPCE ont ainsi présenté une étude complète et révélatrice de l’importance de la filière en France et en Côte d’Azur. Quatre athlètes CECAZ sont soutenus par la banque pour Paris 2024, dont Fabien Lamirault, Para, champion du monde individuel en tennis de table 2018 ou Frédéric Dagée, Champion de France Elite 2021 de lancer de poids, qui sont intervenus à l’occasion de cette présentation.

Assurément, la pratique sportive a le vent en poupe. La massification des usages et des pratiques en atteste : 61 % des Français déclarent exercer une activité physique régulière !

3,8 Mds € en Paca

Le sport est de tous les programmes, de tous les menus, de toutes les feuilles de route, en entreprise comme dans la sphère privée… Les récentes privations dont nos concitoyens ont fait l’objet rappellent l’importance de la pratique et ses bienfaits, en mode bien-être comme en solution thérapeutique. Et si les entreprises du sport azuréen se sont vues fragilisées par la crise (70 % de leurs dirigeants émettent un jugement réservé sur la solidité de leur bilan 2020), la CECAZ entend bien les accompagner dans leurs projets et développements. Le secteur, qui compte plus de 11.100 entreprises et près de 12.400 emplois en Paca, représente 3,8 Milliards d’€, un poids comparable à l’industrie chimique et pharmaceutique. Si les associations y sont relativement peu représentées avec une moindre densité d’équipements publics, les atouts géographiques et les nombreux équipements privés permettent de booster l’ensemble de la filière azuréenne.