Epargne salariale, un outil plus efficace en 2019

C’est un véritable outil de rémunération à destination des salariés. Mal connue des dirigeants, l’épargne salariale reste pourtant très attractive, notamment depuis le 1er janvier 2019. Explications.

François-Xavier Druart dirige le Centre d’Affaires Caisse d’Epargne de l’Arénas à Nice : « L’épargne salariale est un produit très fidélisant pour l’employeur : il permet d’améliorer dans un cadre fiscal attractif, la rémunération qu’un dirigeant souhaite octroyer à ses employés. Et c’est avantageux pour tout le monde car c’est gagnant-gagnant : depuis le 1er janvier, le législateur a décidé, pour toutes les structures de moins de 50 salariés, que plus aucune fiscalité ne pèserait sur l’épargne salariale ». Exemple, avec Mickaël Brand, de Natixis, partenaire de la Caisse d’Epargne et leader en France de l’épargne salariale : « Un employeur qui verse 1.000 € dans le cadre d’un PEE (Plan Epargne Entreprise, NDLR) par exemple, n’est pas fiscalisé sur ce versement : cela lui coûte 1.000 €. Le bénéficiaire n’est soumis qu’à la CSG et à la CRDS, mais sans IR et sans cotisation salariale. Plusieurs sources peuvent alimenter ces PEE et PERCO, les enveloppes fiscales de l’épargne salariale : l’abondement de l’entreprise, mais aussi l’intéressement ou la participation ».

Choisir la CECAZ pour l’épargne salariale, c’est surtout s’assurer une vraie expertise : « Nous proposons des offres spécifiques, accompagnées du début à la fin : présentation auprès des salariés et/ou dirigeants, analyse, jusqu’aux propositions adaptées à l’activité et aux contraintes administratives. On peut ainsi avoir une offre différente suivant les catégories de salariés », rappelle François-Xavier Druart.